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F.A.Q.
Nous répondons à vos questions
Nous sommes des religieuses, c’est-à-dire que nous avons consacré notre vie au Christ par les vœux religieux. Notre vie est toute orientée vers notre mission qui est de « faire connaître et aimer Jésus Christ », selon la formule de nos fondateurs.
Notre vie est résolument apostolique, mais avec une part importante consacrée à la prière. Une vie spirituelle nourrie nous permet d’être capables d’aider les autres à approfondir leur relation avec le Christ. D’un autre côté, nous intégrons notre apostolat dans notre prière quotidienne.
Il est courant que le nom d’une congrégation religieuse catholique soit abrégé par quelques lettres. Ce sigle suit, par exemple, le nom religieux. Au Cénacle, nous signons « RC », car nous sommes Religieuses du Cénacle.
Il n’y a pas de Frères du Cénacle. Cependant, les hommes qui se sentent proches de notre spiritualité et de notre charisme peuvent intégrer l’un des groupes laïques qui partagent notre spiritualité.
Il n’y a qu’une façon d’appartenir à la Congrégation : en étant religieuse, en ayant prononcé les vœux religieux dans la Congrégation. En revanche, il est possible de partager la spiritualité et le charisme de la Congrégation sans être religieuse. Il existe divers groupes de laïcs qui forment la famille spirituelle du Cénacle, dont un groupe de femmes laiques consacrées qui prononcent elles aussi des vœux.
Au 1er août 2023, nous étions 300 Sœurs dans 12 pays sur les 5 continents.
Nous sommes présentes sur les 5 continents. En Europe : France, Italie, Angleterre, Irlande. En Amérique : États-Unis, Brésil. En Océanie : Nouvelle-Zélande, Australie. En Afrique : Madagascar, Togo. En Asie : Philippines, Singapour.
Nous n’avons pas d’habit religieux uniforme. Nous nous adaptons aux situations locales. Dans certaines régions du monde, nous portons le voile, dans d’autres nous portons des habits simples. Mais nous portons toutes la même croix, propre à la Congrégation.
Dans son itinéraire spirituel, le chercheur de Dieu peut mettre ses pas dans les pas d’un saint, un autre chercheur de Dieu qui l’a précédé et qui lui est donné en exemple par l’Église. Il est bon de demander l’intercession d’un saint et d’imiter son itinéraire spirituel.
Une relique est un support matériel à la foi mais il y a d’autres moyens de nous rendre présent le saint dans la prière. Les reliques étant rares et précieuses, nous préférons donner une image ou une prière de sainte Thérèse Couderc pour aider la prière.
Vous pouvez vous approcher d’une communauté du Cénacle. Nous serons heureuses de partager avec vous les trésors de la spiritualité de notre fondatrice, sainte Thérèse Couderc.
La Congrégation trouve son inspiration dans l’expérience de Marie au Cénacle, qui, avec les disciples enfermés après la mort de Jésus, fait mémoire de Lui, attend et espère la descente de l’Esprit et se livre à son action. Elle aide ainsi l’Église naissante à passer de la peur à l’audace.
Nos fondateurs ont fait mémoire de Jésus dans la prière et la contemplation, et, animés par une grande confiance en la Bonté de Dieu, se sont laissés façonner par l’Esprit dans le concret de leur vie et dans les événements de fondation. Sainte Thérèse Couderc, notre fondatrice, dans un écrit qu’elle a souhaité conserver, partage ce qu’elle a compris du mouvement spirituel de « se livrer ».
Dès l’origine, la spiritualité et la pédagogie des Exercices spirituels (qui mettent au centre le dialogue libre entre Dieu et sa créature) nous ont permis de vivre personnellement et dans la mission, la confiance au Père, la mémoire de Jésus et la docilité à l’œuvre de l’Esprit.
Aujourd’hui nous aussi, Sœurs du Cénacle, désirons être une communauté qui, au cœur de ce monde, vit et aide les autres à vivre un mouvement d’enracinement dans le Christ et d’ouverture à la Vie.
À la suite de sainte Thérèse Couderc, notre fondatrice, nous voyons la bonté de Dieu en toute personne, dans la création et en toute chose. Nous cherchons à conformer notre vie à la volonté du Dieu bon, qui nous aime et qui veut que nous ayons la vie en abondance (Jn 10, 10). Nous sommes attentives aux mouvements intérieurs et à la réalité de ce monde pour discerner les appels du Seigneur au quotidien et nous livrer à la conduite de l’Esprit.
Oui, Marie a un rôle particulier dans notre Congrégation. Nos Constitutions l’expriment bien : « Vivre au Cénacle c’est vivre avec Marie, c’est se laisser comme elle conduire par l’Esprit pour communiquer le Christ aux autres. Le rôle privilégié de Marie dans notre Congrégation a sa source dans les actes délibérés de nos Fondateurs qui lui ont expressément remis l’Institut. Ces actes ont influencé notre histoire et marquent aujourd’hui encore toute notre vie communautaire et apostolique. Marie au Cénacle incarne ce que tout sœur du Cénacle est appelée à être. Au Cénacle, Marie est toute attente, toute écoute dans la solitude du cœur, elle reçoit l’Esprit Saint et se livre à son action. En la regardant nous comprenons mieux la profondeur de notre vocation qui doit être un reflet de ce que nous voyons en elle. Nous célébrerons avec joie en Marie la Mère de Jésus, la Mère de l’Église, notre Mère » (n°37).
Tout au long de notre Histoire nous avons beaucoup reçu des Jésuites et nous collaborons souvent avec les Jésuites. Mais nous sommes différentes des Jésuites. Par exemple, nous ne sommes pas engagées dans des écoles.
En revanche, nous sommes Ignatiennes car notre spiritualité et notre apostolat doivent beaucoup aux Exercices Spirituels de saint Ignace. Les Exercices Spirituels sont à la base de notre formation et ils sont notre outil privilégié dans l’apostolat mais avec une tonalité qui nous est propre, en tant que femmes, inspirée de la spiritualité héritée de notre fondatrice (voir la Bonté de Dieu en toute chose et se laisser conduire par l’Esprit).
La famille spirituelle qui vit du charisme du Cénacle n’est pas seulement composée de religieuses. Il y a aussi des femmes consacrées qui, à travers leur vie quotidienne et tout en ayant une profession, s’engagent au service de Dieu et de l’Église selon le charisme propre du Cénacle. Réunies en équipes, elles font vœux de célibat, de pauvreté et d’obéissance.
Des laïcs, hommes et femmes, mariés ou célibataires, vivent aussi de la spiritualité du Cénacle, se réunissant périodiquement pour des partages de vie.
Tous mettent au centre de leur vie la prière et l’Eucharistie, se forment, et peuvent collaborer à l’œuvre des retraites et de l’accompagnement spirituel.
Nous coopérons à la mission de l’Église d’annoncer l’Évangile. Pressées par l’amour du Christ, notre service apostolique est consacré à l’éveil et l’approfondissement de la foi sous la forme des retraites, de la catéchèse, de l’accompagnement spirituel et autres ministères spirituels apparentés.
Poussées par l’amour du Christ et du monde nous désirons que l’Évangile devienne pour chacun et chacune une source de vie. Pour cela, dans notre apostolat, nous cherchons à rejoindre toute personne ouverte à la rencontre, spécialement ceux et celles qui sont en recherche d’un davantage dans leur vie. Dans le dernier chapitre général « nous nous sommes senties appelées à prêter une attention particulière aux femmes, aux jeunes, et aux personnes aux périphéries de l’Église et de la société, ainsi qu’à celles qui sont sans religion ou d’autres religions »
Toute cela sans cesser de faire connaître et aimer le Christ aux chrétiens, en particulier à toute personne désireuse d’être accompagnée dans la croissance de sa foi et dans le discernement de la volonté de Dieu dans sa vie. Individuels, enfants, prêtres, religieux, groupes, familles, aumôneries….
Dans nos centres spirituels, il est possible de dormir sur place pour une retraite spirituelle individuelle ou de groupe de plusieurs jours.
Faire une retraite, c’est se mettre en retrait de sa vie quotidienne pour écouter Dieu, soi-même et la réalité, dans le but de grandir dans la communion avec Dieu et mettre de l’ordre dans sa vie.
Les Exercices Spirituels, nés de l’expérience spirituelle de saint Ignace de Loyola, offrent des moyens pour bien vivre cette expérience. Pendant une retraite, la personne est invitée à prier à partir de l’Ecriture, à contempler la vie de Jésus et à s’en laisser toucher. Les mots, les images, les récits qui font l’objet de sa prière produisent en elle des pensées, des sentiments et des réactions, en résonnance avec sa vie. Par l’accompagnement personnel et l’introduction au discernement spirituel le retraitant est aidé à comprendre l’origine et la signification de ce qui habite et bouge au plus profond de son cœur. Il peut ainsi grandir en liberté, se situer face aux appels qu’il entend de Dieu et poser des choix personnels.
Pour ceux qui ne peuvent pas se libérer plusieurs jours, il y a aussi des propositions pour vivre les Exercices Spirituels dans la vie ordinaire.
Prenez contact avec la communauté la plus proche de chez vous. Vous trouverez les coordonnées sur la carte présente sur notre site.
L’accompagnement spirituel est un engagement dans la durée avec des rencontres périodiques. La régularité est importante car elle permet de suivre la croissance spirituelle. Elle est à déterminer ensemble. Cela peut être une fois par mois, par exemple. Chaque rencontre devrait être préparée pour que j’arrive en sachant ce que je vais dire. Elle dure en moyenne une heure.
La personne qui accompagne est une personne de prière qui a reçu une formation spécifique à l’accompagnement. Elle a pour premier rôle d’écouter de façon bienveillante une relecture de vie et une relation à Dieu. Elle pourra ensuite aider par des questions et des suggestions, à reconnaître ce qui se passe en moi et à identifier la présence de Dieu dans ma vie. Elle peut aussi proposer des manières de prier. Elle n’est pas là pour dicter mon chemin mais pour cheminer avec moi, à l’écoute de l’Esprit Saint dans le respect de la liberté.
L’accompagnement a pour but de m’aider à grandir humainement et spirituellement.
L’accompagnement est basé sur une relation de confiance, dans laquelle l’accompagné doit se sentir libre de parler et donc à l’aise. Si tel n’est pas le cas, il ne faut pas hésiter à demander à changer d’accompagnateur. Parmi nos Sœurs, chacune a des dons particuliers. Vous trouverez bien la Sœur avec laquelle vous vous sentirez à l’aise de cheminer sous le regard de Dieu. Dans certains centres spirituels nous avons aussi des collaborateurs laïcs formés à l’accompagnement.
Tout ce qui touche à la vie spirituelle n’a pas de prix. Cependant, notre apostolat est notre activité quotidienne, ce qui ne nous laisse pas le temps pour une activité professionnelle régulière rémunérée. Afin d’offrir un service de qualité aux personnes qui nous sollicitent, nous prenons le temps de nous former et d’acquérir une vraie compétence. Aussi, nous avons besoin de la participation financière de tous, qu’elle soit petite ou grande, pour nous permettre de vivre et de continuer à nous former. Parfois, certains dons nous aident à proposer également notre apostolat à ceux et celles qui ont moins de moyens.
Oui. Notre participation à la mission de l’Église s’exprime aussi dans la prière. Nous confions particulièrement à l’intercession de sainte Thérèse Couderc les intentions qui nous sont données. Certaines de nos communautés portent particulièrement cet apostolat de la prière.
La collaboration à notre mission peut prendre diverses formes : il est possible de se former pour animer avec nous des propositions ou des retraites, ou encore pour accompagner ; il est également possible de donner du temps pour accueillir des personnes ou des groupes qui viennent dans nos centres spirituels, d’aider à la comptabilité, et tant d’autres choses encore… en fait, beaucoup de talents sont utiles à notre mission !
Vous pouvez aussi nous aider par un don pour permettre à nos communautés de vivre mais aussi de faire profiter de notre apostolat des personnes qui n’ont pas les moyens de participer financièrement à nos activités. Enfin, vous pouvez nous soutenir par la prière.
La vie consacrée est un don de Dieu à l’humanité qui se manifeste de diverses manières (vie religieuse, instituts séculiers, sociétés de vie apostolique, vierges consacrées, nouvelles formes…). Dans chacune de ces formes, des hommes et des femmes approfondissent la consécration baptismale et font profession des conseils évangéliques, choisissant de les vivre d’une manière semblable à celle de Jésus. Les traits caractéristiques de sa personne et de son amour (chasteté, pauvreté, obéissance) acquièrent ainsi une visibilité particulière et constituent un témoignage fécond de l’Évangile.
Traditionnellement, les religieux et les religieuses professent publiquement les vœux de chasteté, de pauvreté et d’obéissance. Ils s’engagent à vivre d’une manière particulière, proche de celle choisie par Jésus, les conseils évangéliques qui s’adressent à tous les chrétiens. Par la chasteté, ils s’engagent à une vie de célibat pour aimer Jésus-Christ avec un cœur sans partage et s’ouvrir à un amour gratuit et universel pour tous les frères et sœurs, en particulier les plus pauvres et ceux qui souffrent. La pauvreté est vécue dans une relation de confiance dans la sollicitude aimante de Dieu le Père, comme une liberté du cœur par rapport aux biens matériels, le partage avec les plus démunis et la lutte contre les diverses formes d’injustice. L’obéissance est vécue dans un dialogue authentique et confiant avec les responsables, comme une participation loyale au discernement de la volonté de Dieu et comme une disponibilité pour la mission – que ce soit dans le quotidien ou au moment de recevoir un envoi particulier.
La vocation est un appel du Seigneur capable de nous mettre en mouvement et d’orienter toute notre vie. Elle nous saisit et nous façonne lorsque, en accueillant le regard aimant de Dieu sur nous-mêmes et sur le monde, et en dialoguant avec Lui, nous laissons émerger et résonner en nous notre désir le plus profond. La vocation est source de liberté, de plénitude, de joie et conduit au choix d’un chemin de vie particulier pour aimer et vivre l’Évangile à la suite du Christ dans le monde d’aujourd’hui.
On découvre sa vocation dans la prière et dans la relation avec le Seigneur. Il est donc important de consacrer du temps à l’écoute de la Parole de Dieu et à un dialogue confiant avec Lui, où l’on accueille Son regard sur soi, sur sa propre vie et sur le monde. Il est également essentiel d’observer quand nous nous sentons vraiment nous-mêmes, libres, dynamiques, et « capables » d’aimer. Relire notre prière et ces situations de vie avec l’aide d’un accompagnateur ou d’une accompagnatrice spirituel(le) nous donne des indications précieuses pour discerner notre vocation.
Pour reconnaître l’appel à la vie religieuse, il est fondamental d’écouter les mouvements du cœur et leur déploiement dans le temps. Que suscite en moi, dans la prière et dans les moments où je me sens proche de Dieu, la perspective de me consacrer à Lui par les vœux de chasteté, pauvreté et obéissance, de vivre en communauté, de me donner aux autres de l’une des nombreuses manières dont Jésus s’est approché de son prochain ?
Si je me sens interpellée au plus profond de moi, si je ressens une certaine attirance, malgré des résistances, si, avec le temps, je sens naître en moi un courage qui me pousse à affronter mes peurs, si je suis habitée par une paix et une joie ancrées dans la réalité, je peux prendre les moyens pour approfondir le chemin de discernement.
Pour discerner sa vocation, il est fondamental d’avoir une vie authentique de prière et de ne pas cheminer seul(e). Un accompagnement spirituel est très profitable pour reconnaître et interpréter les mouvements du cœur et pour trouver des moyens pour avancer vers une décision. Par exemple à un certain moment il pourrait être bon de vivre une retraite selon les Exercices Spirituels de Saint Ignace.
Parfois il pourrait également être aidant de faire (et de relire) des expériences concrètes (par exemple un stage dans une communauté), qui, en mettant en contact avec une réalité particulière, offrent des éléments précieux pour le discernement.
Il peut être utile aussi de se tourner vers le service des vocations de son diocèse et de vérifier s’il existe des propositions pour cheminer avec d’autres jeunes qui se posent des questions sur leur vocation.
Si tu connais une sœur du Cénacle, tu peux t’adresser à elle. Elle te donnera les renseignements nécessaires. Si tu n’en connais pas, tu peux prendre contact avec la communauté la plus proche (vois où nous sommes sur la carte présente sur ce site).
Il n’y a pas de modèle-type de Sœur du Cénacle. Ce qui fait la richesse de notre Congrégation est la diversité de nos caractères, de nos dons et de nos expériences de vie.
L’entrée au Cénacle est le fruit de la convergence du discernement personnel de la personne et de celui de la Congrégation, qui reconnaissent les signes d’un appel à ce mode de vie particulier. La profondeur du désir de suivre le Christ et de se donner totalement à Lui, la compréhension intérieure de l’esprit et de la mission du Cénacle ainsi que l’attirance pour ce charisme sont très importants. Il est également nécessaire d’avoir la disponibilité pour recevoir la formation nécessaire à l’intégration dans la Congrégation. Il faut aussi avoir le désir et les qualités humaines requises pour vivre la mission en communauté dans le monde d’aujourd’hui et dans une Congrégation internationale.
Le processus de discernement pour l’entrée au Cénacle se déroule selon la méthodologie de la spiritualité ignatienne. Les étapes concrètes peuvent varier en fonction des personnes et du contexte.
La première phase a pour objectif la connaissance réciproque. La femme qui sent une attraction pour le Cénacle passe du temps dans une ou plusieurs communautés, dialogue avec les sœurs, partage la vie de prière et, dans la mesure du possible, participe à la mission apostolique. La relecture de ces expériences et leur impact intérieur permettent de déterminer les prochaines étapes à suivre. Lorsque le moment est propice, la personne est mise en contact direct avec la supérieure provinciale à laquelle elle peut exprimer son désir d’entrer au Cénacle.
La formation au Cénacle se déroule selon les étapes traditionnelles prévues dans la vie religieuse : le postulat (6 mois à 2 ans), période d’approfondissement de la connaissance réciproque ; le noviciat (2 ans), véritable introduction à la vie religieuse et préparation à la consécration par les premiers vœux ; la période de la profession temporaire (5 à 9 ans), temps de formation intellectuelle, apostolique et pratique, qui se conclut par le Troisième An. Au cours de ces derniers mois, toutes les activités sont suspendues pour se consacrer, avec l’accompagnement d’une sœur, à la prière et à l’approfondissement du charisme, en vue de l’incorporation définitive par la profession perpétuelle. Durant cette dernière année, on vit habituellement une retraite de 30 jours et un stage dans une communauté d’un pays différent du sien. Après l’engagement définitif, la sœur ne cesse de se former, mais entre dans un processus de formation permanente, nécessaire pour rester profondément enracinée dans le Christ et se mettre au service des hommes et des femmes de notre temps.